Conception d'interfaces centrée sur l'utilisateur, de l'intention à la solution exploitable, combinant conseil, exploration et réalisation.
Les applications web et mobiles dont les exigences sont liées au contenu, à l’interaction, à l'industrialisation et à la qualité de réalisation sont ceux où mon apport est le plus adapté.
En partant des besoins et des contraintes opérationnelles, je travaille avec les différentes parties prenantes du projet pour aboutir à une solution formelle réaliste offrant aux utilisateurs un gain de confort et de performance.
Les domaines dans lesquels je suis récemment intervenu sont la logistique, la petite enfance, la finance ou encore le transport ferroviaire de personnes. Et moins récemment : e-commerce, aide à la vente, banque et assurance.
Dans cette phase d'immersion, les particularités de votre métier sont assimilées lors d'entretiens menés avec les utilisateurs, commerciaux, techniciens porteurs de vision, et décisionnaires finaux. La problématique pourra ainsi être exposée sous différentes perspectives qui peuvent enrichir la phase de conception. C’est aussi l’occasion de définir les notions fondamentales du projet afin de s’assurer que les critères de réussite sont alignés.
Observer l'utilisation d'un produit au cours de sa conception permet d'en révéler les forces, mais surtout les faiblesses qui n'étaient pas lisibles lors de la déclaration d'intention.
En réalisant des prototypes formellement simples, on progresse dans la définition du produit en s’autorisant à faire des erreurs et à les corriger rapidement. Confronter les propositions aux modèles de données disponibles, identifier les cas limites, optimiser les modèles d'interaction ou trouver les astuces qui rendront la vie de vos utilisateurs plus agréable : ce sont les avantages de ce passage par une représentation simplifiée mais praticable de l'interface.
Durant cette phase, pas d'absolus ; souplesse, improvisation et créativité sont nécessaires dans le choix des outils pour faire exister cette exploration nécessaire à l’innovation, en gardant le contrôle sur le budget.
En collaboration avec les équipes du projet (développeurs, commerciaux, stratèges) et le décisionnaire final, une maquette statique ou interactive est ensuite mise au point en reprenant le travail d'architecture d'information réalisé dans la phase précédente.
Les couleurs, l'iconographie, la typographie et la cinématique sont mises à contribution pour réaliser une interface informative et subtile : elles viennent renforcer la compréhension des rôles de chaque élément à l'écran.
Il est aujourd'hui crucial d'apporter autant de soin aux interfaces qui (re)présentent les marques qu'aux autres médias qui portent leur voix. Elles sont maintenant les premiers points de contact avec le public et les clients potentiels, à l'instar de supports de communication plus traditionnels.
Dans toute activité, la prise de recul par rapport à ses préoccupations quotidiennes n'est pas évidente, et la formulation d'un but allant au-delà d'une esquisse de solution l'est encore moins. C'est mon rôle de vous aider à formuler votre besoin, à préciser la question à laquelle répondre, en vous écoutant formuler des solutions possibles et en confrontant votre contexte avec ceux que j'ai pu rencontrer.
Si les termes UX, UI, Design Thinking et co-création ne sont pas employés ici, c'est à dessin. Ce sont des mots aux contours mal définis qui occasionnent des malentendus, même chez les anglophones. La conception produit est un processus de dissipation du flou ; il serait dommage d'y recourir pour définir mon activité.
Toute mon attention se porte sur la qualité d'usage des produits que j'aide à construire. Les méthodes de design que j'emploie s'adaptent aux problèmes que je dois résoudre et aux équipes que je rencontre ; les livrables que je fournis sont ceux qui seront les plus pertinents pour les personnes qui fabriqueront le produit final. Les dernières méthodes à la mode n'ont rien à voir avec ces impondérables, même si je comprends qu'elles puissent avoir un effet séduisant et rassurant.